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sexe - Page 8

  • " Les ailes du desir."

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    Après l'anicroche d'Autheuil, une fois mes rires et mes raideurs, mes migraines épathiques et mes hébétudes narcotiques dissipées, je me sentis de fureur sacrée, pousser ,membraneuses, amples ,vibrantes des ailes d'Incube qui, crevant la nudité de mon dos, déchirant mes muscles en de violentes blessures, m’élevèrent jusqu'à des sommets inconnus de barbarie ou des serpents pythons semblables à mes rancœurs nouaient leurs anneaux d’aveugle sensualité autour du corps d’un Julien livide et supplicié.

    De mon gladiateur sacrifié, cependant, je ne perdais pas le gout, encore moins le désir de ces merveilleux désirs dans lesquels, tombant de fièvre quarte en chaud mal, de martyrs en voluptés, des semaines durant, je me consumais.

    Suppléant à une routine de médiocre tenue, l’effervescence ou je me débattais dés le saut du lit, lorsqu’elle ne dévorait pas mon sommeil de ses flambées impures apportait un éclairage nu, cru, frontal sur une existence pitoyablement bourgeoise, morne, indolente et atone en dépit des brèves secousses dont je talonnais ma monture afin de maintenir cette allure du petit galop qui jamais ne prenait un virage en dehors mais qui me semblait, toutes paupières cousues, plus épique encore que les chevauchées de hautes couleurs de ces preux d'Angleterre ,qu’emportaient dans un grand vent de pétales et d’oriflammes , les harmoniques baroques d’un poème de Beuern mis en musique par Carl Orff .


    La rage aux dents, encensant sous l’insulte d’une phrase mesquine -petite merde, salope, minet rupin, avait il dit - dont les ricochets suffisaient à me glacer d’écume, je m’acharnais à prouver à quelqu’un qui ne me demandait rien, plus qu’à moi-même qui n’en demandais pas d’avantage, que je valais mieux que ce que mes nuits cocaïne et champagne, ma vagabonde et farouche tribu Tzigane, mes blêmes amours mortes-nées dont les effigies de cire s’exhibaient dans un musée des erreurs entre la rue Beaubourg et le Boulevard Beaumarchais , laissaient entrevoir d’une personnalité en démolition avant même que de s'être construite .

    A la stupéfaction générale je congédiais mes dealers et mes amants, ne conservant pour le bon équilibre de mes nerfs qu’un petit rouquin dont le cul blanc comme un rêve de crème aimait à être battu jusqu’à l’incarnat des feux d’infamie et dont je me souviens qu’il se parfumait à la même eau de cédrat et de verveine que ma grand-mère, contrariant par là des bandaisons qui cependant ne demandaient qu’à s’ébaudir, ce à quoi elles consentaient de bien bonnes grâces, une fois le bambin , savonné , rincé et talqué à la poudre d’Iris .

    Plus étonnant encore je repris le chemin de la fac, me fondis, sage et bien peigné, débarbouillé de mes paillettes, privé de mes anneaux d'oreilles, de mes colliers d'émaux ,gardant juste au cou une croix de corail dont je pensais qu'elle me portait bonheur, dans la masse houleuse et moutonnante d’une promotion que j’imaginais fade et triste , alors qu’elle était rieuse et bohème, me découvris le gout des livres et de l’étude , l’amour de l’histoire , de l’art , de l’histoire de l’art et finalement passais comme en me jouant des examens que l’on disait redoutables .

    Dans la foulée et puisqu’un bonheur n’arrive jamais seul, je décrochais un entretien d’embauche – des entretiens devrais je écrire car on demanda à m’entendre six fois –auprès du voyagiste plein de mansuétude et d’abnégation qui aujourd’hui m’emploie encore.

    « -Ainsi, riait Julien tandis qu’il embrassait mon ventre nu, c’est un peu grâce à moi que tu es ce que tu es.


    J’étendais mes doigts en serres pour agripper ses boucles brunes et drues, tirais en arrière sa belle tête halée.

    « - Au vu du résultat, il n’y a pas de quoi pavoiser.

    Julien détachait mes mains de ses cheveux, pesait sur mes avant-bras jusqu'à ce qu'ils cèdent, tandis que son corps sur le mien devenait plus lourd.

    « - Et si je te disais que cette après midi là, à Autheuil, petite merde, petite salope, petit minet rupin, si je te disais que moi, je t’aimais déjà !

    Je cherchais à croquer une bouche irrégulière, vivante, mobile, une bouche de beurre, de sucre, de rhum doux et qu’il me refusait.

    « - Je te dirais moi, qu’il faut laisser aux vrais menteurs le soin de bien mentir, Monsieur l’observateur pernicieux de la vie des autres, Monsieur le journaliste !

    Avec violence, avec douceur, enfantin, il me mordait au sein.

    « - Je te haïssais, c’est donc que je t’aimais un peu.

    Je me dégageais de son étreinte, roulait sur le flanc pour mieux revenir aussitôt me pendre à son cou.

    « - J’aime bien quand tu m’aimes moins, et mieux lorsque tu me détestes un peu.

    Graves et beaux ses yeux du bleu perçant des pervenches viraient au mauve presque noir des violettes Italiennes et des eaux profondes.

    « - Une chose est certaine, mon terrifiant amour, devrais je vivre cent ans et faire cent fois le tour du monde, il n’y a aucune chance que je recroise un jour une plus somptueuse tête à claques que toi.

  • " Les trois mères."

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    Profitant de l’absence de mon homme retenu Dieu sait ou, j’organisais, la semaine passée, un diner de « poufs » à l’intention de mes trois mères.

    « Mater Suspiriorum », la mère des soupirs.
    « Mater Tenebrarum », la mère des ténèbres.
    « Mater Lacrimorum », la mère des larmes.

    Vous savez désormais dans quel chaudron de sorcières Dario Argento puisa l’inspiration de sa célèbre –et très inégale –trilogie.

    Filles adultérines de Shakespeare et de Tchekhov, mes malheureuses tantes se virent échoir la tache impossible de m’élever correctement ce dont elles s’acquittèrent avec un amour infini et une totale absence de cervelle, me laissant croire longtemps que j’étais spécial – et sans doute l’étais je réellement-, bien supérieur au commun des mortels ; un roitelet encagé dont le bon-plaisir dépendait de son seul bon-vouloir; m'incitant à cultiver le caprice comme une vertu , l’ironie comme un art , l’insolence comme un devoir, les déviances en tous genres comme une forme absolue de la liberté.

    Bref, on peut dire sans trop se tromper que se fut dans les personnalités complexes de Liouba, Stassia et Sasha que Vania-Vassili-Stéfan pucha à pleins baquets les philtres noirs et roses d'ou émana dans d'obscurs parfums ,mi fauve , mi fleur « Mauvaise . Graine ».


    De mes tantes, vous connaissez déjà la reine mère, Liouba; fausse bourge croulant sous le fric et l’adoration d’un mari encore ébahit, vingt cinq ans après qu’elle daignât lui adresser la parole.


    A présent, j’aimerais vous présenter Stassia et Sasha.

    Stassia- Anastassia à l’état civil- c’est le mec de la famille.


    Une femme forte, directe, virile, une femme intelligente et abrupte.


    Au contraire de ses sœurs, obsédées par la mode, et bien qu'elle possédât des pièces de très haute qualité, Stassia ne prêtait pas trop d’attention à la manière dont elle s'habillait. Constamment sur le pied de guerre, elle répugnait à consacrer du temps au choix de ses vêtements, à assortir ses chaussures à son sac.

    Ainsi, il lui arrivait de porter un somptueux manteau de fourrure sur une jupe en maille et un cardigan, un jean râpé et un T-shirt en coton avec un sublime collier de perles.

    C’est une femme en action plus qu'une femme d'action


    Spécialisée en chirurgie vasculaire et thoracique, elle mène d’une main d’acier la clinique que nous a légué papy.

    Sans jamais se marier elle a eut deux garçons, de deux hommes différents.


    Elle les élève, les pauvres, comme elle gère ses affaires.

    Virilement !

    Du reste, elle réprouve à utiliser ce qu'on appelle les armes "féminines" : la fragilité, la douceur, le charme.


    Cependant, lorsqu’un garçon lui plaît, et l’amazone en fait une consommation digne d’un pédé, forcément, elle change de registre !

    Sasha –Alexandra à l’état civil- est comédienne.


    Elle cachetonne dans des films que personne ne voit jamais, joue dans des pièces undergrounds tellement ennuyeuses que le public, s’il y en a, s’immole par le feu avant la fin du Premier acte.


    Plus jeune, elle vécu quelques années en Italie ou elle devint vedette de "Fumetti", ces romans-photos à l'eau de rose dont la péninsule est friande.


    Anarchiste et mondaine, elle eut longtemps pour devise « La bombe à neutrons oui, mais pas sur « Fauchon » »

    Petite fille, elle était rêveuse, elle écoutait les autres, elle ne parlait pas.
    Autour d’elle chacun se montrait très volubile alors qu’elle, muette se cachait derrière son père et ses sœurs. Timide, elle aimait pourtant se déguiser, jouer à des jeux de société.

    Déjà, elle se trouvait partagée entre le rêve et l'envie de vivre.


    Sans doute est elle devenue comédienne pour combler le fossé séparant le monde qui l'entourait de celui qu’elle imaginait.

    Elle aussi à deux fils, aucun du même père.

    La semaine passée, donc !



    Au menu, outre notre sempiternel Caviar de la Caspienne et ses accompagnements, du sucré, rien que du sucré.


    Mignardises, Baklavas, assortiment de Carolines, Florentins aux cerises et au gingembre, macarons, orangettes, sablés au citron, Muscadines, Diamants à la vanille et dentelles croustillantes au chocolat.



    Toujours au menu, ragots, potins, bouchées au vitriol, becquées à l’arsenic, goulées d’acqua-toffana.


    Pas d’alcool.


    Uniquement de la Vodka au piment et au miel, servie dans des dés à coudre que nous vidions d’un trait entre deux rosseries.


    Gavée de tisanes et d’ascèses, le corps et l'esprit purifiés, plus enragée encore que de coutume, Stassia rentrait à peine d’une cure Italienne.


    Trois semaines de retraite dans un monastère Lombard quelque part du coté de Brescia à bouffer du radis et à macérer dans la vase, tout cela pour le prix d'une Ferrari, il m'eut étonné qu'elle en sortit aussi jouasse que d'une soirée au « Baron ».

    Dès l’apéro elle commença son show.

    « -Mais quelle expérience fooormidaaaable ! Je me sens comme une ado, c'est dingue.

    « -Comme une ado ? Tu veux dire mal dans ta peau et ravagée par l’acné ?

     
    « -Je veux dire encore suffisamment vigoureuse pour claquer le beignet d'un grand cornichon irrespectueux lorsqu'il le mérite.


    Comprenons nous bien, j'aime mes tantes, je tuerais sans la moindre hésitation quiconque tenterait de leur faire du mal ; mais leur numéro de sœurs siamoises éprouvé, usé jusqu' à la corde, cette obstination qu'elles mettent à être toujours en représentation ; Liouba dans son rôle de grande bourgeoise enjouée, dépourvue du moindre état d’âme, Stassia en gloire du bistouri, ressassant à plaisir des histoires de bloc à vous dégouter à jamais de la bidoche ; Sasha en artiste maudite et spécialiste du Name dropping ,me font, je l'avoue doucement soupirer.

    Enfin, j'imagine que dans l’histoire, elles sont encore les plus à plaindre.

     

    Avoir élevé un énergumène de ma trempe ne doit pas être si facile à assumer.


    Déjà, à l’image de mon père, j’avais refusé de faire médecine et de reprendre la gestion de la clinique dont mon grand père et mon arrière grand père avant lui avaient construits l’excellente réputation.

    FLASHBACK :

    Liouba, paniquée

    : « -Mais qu'est ce que tu racontes à la fin ? Tu as perdu la tête. Tu es l’ainé des garçons, tu te dois de reprendre le flambeau.

    Moi, adolescent révolté sans aucun motif de révolte légitime

    : « - Si je reprends le flambeau, ce sera uniquement pour foutre le feu à cette putain de clinique.

    Stassia, calme et venimeuse

    : « - Putain de clinique qui soit dit en passant t'a permis de ne manquer de rien .Parce que si tu avais dut compter sur les singeries boulevardière de ton père pour manger du Caviar , tu n’en connaitrais toujours pas le gout ! Je crains que nous ne t’ayons trop gâtés mes sœurs et moi. Un corbeau ! Nous avons élevé un corbeau et aujourd’hui, il nous arrache les yeux.

    Sasha véhémente

    : « - Il a raison ce petit ! Fuck la tradition ! Vie ta vie mon chéri, ne te laisse influencer par personne!

     

    Stassia, furieuse

    : « - Toi la rouge, personne ne t’a sonnée ! Il reste une communiste sur terre, encore faut il que se soit ma sœur ! En plus comme exemple de réussite professionnelle tu te poses un peu là cocotte ! Tu as tourné dans quel bouche programme cette année ? Quelle famille ! On est vraiment bien montés !

    Moi goguenard

    : « - Plutôt, oui ! En tous cas mes amants ne se plaignent pas !

    Liouba, effondrée

    : « - Il est con ce gosse ! Tu le fais exprès ou tu as pris des cours ? Parlons peu, parlons bien ! Tu veux faire quoi à défaut de médecine ? Tu as bien, sinon une vocation, du moins une idée de ce qui te plairait ?

    Moi, parfaite tête à baffe

    : « - Nan, chais pas. Pour l'instant j'ai juste envie de m'éclater la mouette.

    Stassia, dans un grand élan de tragédie

    : « -Mais ce n'est pas un métier, ça !

    Aujourd’hui encore , Liouba et Stassia ne se sont pas faite à l'idée que je ne sois pas le professeur machin ; mais que voulez vous pour avoir été élevé dans le sérail , parmi les vapeurs d'éther et les mandarins , je sais que ce monde de sacrifices , de tension et de mort n'est pas le mien ; d'autant que dépourvu de la moindre compassion j'eus fait un médecin déplorable .


    En revanche, que je sois pèdè ne leur a jamais posé de problèmes ; Sasha parce qu'elle est la bonté et l'abnégation même ; les deux autres parce qu'elles trouvent cette originalité aussi tendance qu'un sac Birkin.

    Pourtant confrontées aux hommes de ma vie, Liouba et Stassia, au demeurant intelligentes, cultivées et sommes toute tolérantes se sont toujours comportées en parfaites imbéciles.

    Ainsi, Liouba ne peut s'arrêter de parler, ce qui ne serait pas si grave si elle n'enchainait les maladresses.

    Ainsi, Stassia, d'ordinaire fine conteuse, se contente de proférer des banalités avec l'embarras et le teint fleuri d'une charcutière en rupture de rillettes.


    FLASHBACK



    Liouba déguisée en chasse Espagnole un jour de Marie, sautoirs de perles, larmes de diamant, cabochons de rubis

    : « -Mon dieu, mais qu'il est beau !!! Il n'y a pas à dire, mon chéri, tu sais les choisir.

    (Sous entendu : Vous êtes, jeune homme le 4400 eme fiancé potentiel que notre neveu nous présente. Vos prédécesseurs sont passés plus vite que le café ; ne vous faites aucune illusion, votre règne sera court.)

    Stassia, à la recherche d'un intérêt commun

    : « - La médecine vous intéresse ? Non ! Ca m’aurait étonnée ! Oui, nous sommes médecins de père en fils dans la famille ! Enfin de père en filles, parce que les garçons, hélas…..Enfin, j’imagine que ce que je vous raconte ne vous intéresse pas !

    Liouba, en aparté, d'une voix de contralto qui doit s'entendre jusqu’à Courbevoie

    : « -Celui ci au moins est bien élevé.

    (Sous entendu : Vania a d'ordinaire du goût pour les voyous au point que je craignais, à chaque fois, qu'ils ne filent avec l'argenterie à la fin du diner. Franchement mon pauvre petit, je ne veux pas vous faire de peine, mais, vous n'êtes pas de taille.)

    Stassia, tatillonne

    « - Votre père est dans la carrière m’avez-vous dit ! Et votre maman ? Femme au foyer, bien sur ! Le syndrome de Wistéria lane en somme ….. Ah, vous avez trois frères ! Belle famille ! Tous du même père ?

    Liouba, insidieuse

    : "- Et que fait il dans la vie, ce grand garçon ? Guide accompagnateur trilingue, quelle bonne idée ! Vous ne devez pas souvent être chez vous ! Remarquez, Vania non plus !

    Sasha rêveuse

    « - J’ai couché avec un guide, une fois en Turquie ! Ce n’était pas terrible ! Le guide, pas la Turquie !

    Stassia, décidément obstinée

    : « - Vous chassez, bien entendu ! Non ? Comme c’est bizarre ! Oui, j’ai dit bizarre ! Vous savez que Vania adore chasser. . Ah, si, si je vous assure Vania est un chasseur émérite. Je dirais même une fine gâchette, n’est ce pas mon chéri ? La première fois qu’il a tirée, il n'avait pas huit ans.

    Moi, narquois

    : « -Tout de même pas ! J’ai connu mon premier mec à quinze ans !

    Liouba, perfide

    :"-Ne l’écoutez pas, cet enfant est idiot ! Personnellement, j’ai les armes à feu en horreur, mais il faut bien reconnaître qu’à toute chose malheur est bon. Au moins Vania est il capable de se défendre.

    (Sous entendu : A votre place j'éviterais de faire du mal à mon neveu à moins que vous ne teniez à vous faire exploser les rotules à coup de Beretta.)



    Mais comment doté d’une famille pareille voulez vous que je garde un mec?

     

  • " Fesse Bouc sent des Fesses."

    vaniarome-33.jpgPour des raisons techniques auxquelles je n'ai compris que pouic - Ca m'apprendra à secher les cours du soir pour aller me givrer la caboche au bar du "Lutétia" )les liens vers la page Facebook dédiée à ce blog ne fonctionnaient pas.

    Et lorsqu'ils fonctionnaient c'était pour s'ouvrir au grés de leurs fantaisies sur des pages plus improbables les unes que les autres.

    Lassé de ne pouvoir remédier à ce problème, j'ai purement et simplement rapatrié le contenu de " Petits contes Défaits" vers ma page perso, laquelle en jachère depuis des lustres s'en montra toute émoustillée.

    Tant pis pour la pudeur! Lorsqu'on blogue on se dénude ou alors il faut faire du macramé en lozére.

    Vous saurez donc désormais- presque- tout de moi.

    A commencer par mon nom de famille- le premier qui se moque est un homme mort. Les suivants également!

    Vous y decouvrirez ma sublime tête de fils de pute, ma bouche purpurine et mes yeux lasers.

    Vous pourrez y lire les deux premiers épisodes d'" Arthur au pays des horreurs", une saga à faire pâlire de jalousie Dame Katherine Pancol, ses crocodiles, ses tortues, ses écureuils et son singe Bonobo sodomite.

    Vous y attendent également quelques pétasseries en musique, tel le premier tube de l'été à thématique exclusivement gay, une daube à la cire de chevaux de bois intitulée ' Go Homme"- On applaudit la subtilité du jeu de mot-, ainsi que des photos, des vidéos et pas mal de surpprises.

    Que toutes les personnes ayant tenté de s'inscrire veuillent bien accepter mes plus plates excuses.

    Et encore merci à l'excellent Olivier Autissier pour l'aimable conversation à base de balais rotis que nous avons partagée hier soir.

    Viendez, viendez, les mecs, les gosselines, mon mec se barre au bout du monde et j'ai besoin de compagnie. Vous verrez on va se marrer!

    (Ceci n'est pas à mon grand regret une proposition malhonête.)